Pourquoi la technologie d’aujourd’hui devient-elle plus complexe ?
Comment utiliser ces appareils de plus en plus complexes ? Et à première vue, ces compétences semblent certainement en déclin. Mais ce que beaucoup de gens ne réalisent pas, c\’est que les gadgets d\’aujourd\’hui, qu\’il s\’agisse de voitures, de téléviseurs, de téléphones ou de n\’importe quoi d\’autre, sont beaucoup plus complexes. Les composants sont plus nombreux et les circuits plus délicats. Il n\’est donc pas surprenant qu\’ils ne soient plus faciles à réparer. Mais la question se pose alors de savoir pourquoi les machines d\’aujourd\’hui sont tellement plus complexes.
La réponse est simple : aujourd\’hui, de nombreuses fonctions ont été ajoutées. Alors qu\’auparavant les voitures n\’avaient qu\’un moteur conventionnel, elles sont aujourd\’hui équipées de nombreux dispositifs électroniques tels que les commandes de rétroviseurs, l\’ouverture et la fermeture des fenêtres, la navigation GPS, la climatisation et bien d\’autres gadgets. Il est donc évident que l\’ensemble du système est beaucoup plus complexe et sophistiqué qu\’auparavant. Il en va de même pour les téléphones portables, les téléviseurs, les ordinateurs et bien d\’autres encore. [Cependant, il est vrai que dans de nombreux cas, ces appareils sont trop complexes et pourraient être simplifiés. Mais il est également vrai qu\’ils ne le sont pas, et cela s\’explique très simplement :
En clair, le fabricant a intérêt à produire des machines dont la réparation n\’est ni facile ni bon marché En effet, chaque fois qu\’une machine tombe en panne, il s\’agit d\’une défaillance. En effet, s\’ils doivent payer pour un service de marque ou acheter un nouveau modèle à chaque fois que la machine tombe en panne, le concessionnaire et le fabricant en profitent tous les deux. Aujourd\’hui, les entreprises sont plus que jamais axées sur le profit. Il n\’est donc pas étonnant qu\’elles utilisent n\’importe quelle tactique juridique, qu\’elle soit avantageuse ou désavantageuse pour le client. [En résumé, il semble qu\’il n\’y ait aujourd\’hui aucune volonté de part et d\’autre de changer cette situation. C\’est regrettable, car cela signifie que le public devra en payer le prix. C\’est le consommateur moyen qui paie le prix.